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vendredi 1 mai 2015

Marine le Pen, ou comment la Jeanne d'Arc dynastique s'est brûlée les ales en vendant son père

LA FILLE ARC A TUÉ « PAPA JEAN » (contexte mulhousien)-MARIE(NE), LA FILLE NE A TUÉ PAS (Histoire d’une négation), LA FILLE ARC A TUÉ LA FLECHE ET LE ROI LEAR A TUÉ CORDELIA Jean-Marie le Pen voulait être Shakespeare ou rien. Le roi Lear ou le moins-disant des lyriques. Le pire des pères ou le plus pariat des déshonorés. Par la plus ingrate engeance des déshérités de « la République des fils à papa ». Marine le Pen est une patriote parricide. Somée d’être promue à la tête de son parti, à condition de renier celui sans qui elle ne serait ni sur cette terre, ni à sa tête. Sommée de le renier par des révisionnistes du lien de filiation au nom de la mémoire. Au motif que le plébéien tribun géniteur de la patricienne patriote se serait rendu coupable d’un crime, non de négation(ni[c]m, Estrosie Christian) ni même de révision(isthme de Suez, Ferdinand exterminateur ), mais de rehiérarchisation historique, pour avoir dit que : « Les chambres à gaz sont un détail de l’histoire de la seconde guerre mondiale, à moins de considérer que la seconde guerre mondiale est un détaille de l’histoire des chambres à gaz. »

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