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samedi 13 avril 2013

"Mariage pour tous", une mutation en voie de maturation

MARIAGE POUR TOUS, UNE MUTATION EN VOIE DE MATURATION (J'ai le plaisir et l'honneur de publier cette réflexion décoiffante et décapante de mon amie edma, non que j'en reprenne à mon compte les aspects et paradigmes ésotérique, évoluttionniste ou réincarnationniste, mais parce qu'outre qu'il n'y a jamais d'amitié ni de rencontre de hasard, l'approche physiologique, anthropologique et subtile quie est proposée ici est incomparablement plus riche que "la loi naturelle", habituellement opposée dans ce combat symbolique contre le "mariage homosexuel". Les lignes qui suivent déploient une pensée originale, étonnante et qui a le mérite de faire bouger les lignes de partage un peu trop confortables et établies entre ceux qui sont presque physiquement opposés à ce projet de loi et ceux qui y voient une conquête de la liberté à laquelle on serait d'autant moins fondé à s'opposer qu'elle ne nous enlève rien à titre individuel ou personnel…) L'appellation "mariage pour tous" ne peut être retenue pour présenter à l'opinion le texte de loi censé s'intituler ainsi, car outre qu'elle travestit le véritable titre du texte "ouvrant le mariage aux personnes de même sexe", l'expression est fautive. En effet, une attirance de nature sexuelle entre deux êtres ne signifie pas qu'elle puisse prendre place dans un cadre de légalité, ainsi qu'il appert dans un contexte d'inceste, pour prendre l'exemple le plus extrême. A supposer que le "tous" de l'appellation ne concerne que les êtres humains et qu'onn'accorde pas le statut d'entités aux animaux et à d'autres êtres d'autres catégories telles qu'on les trouve mentionnées et attestées par les grandes religions de l'humanité, ce pronom "tous" ouvre la voie à des déformations qui ne sont pas compatibles avec ce que nous reconnaissons intimement et unanimement comme désirable pour l'être humain actuel.Tout coït (du latincoire, aller ensemble), présuppose un élément mâle et un élément femelle au niveau anatomique. Quand ces conditions ne sont pas réunies effectivement, les êtres humains concernés recourrent à des leurres, soit un leurre au niveau de l'emplacement du corps comme centre pulsionnel pour l'homosexualité masculine, soit un leurre au moyen d'objets confectionnés ou d'animaux et, pour les deux sexes, le recours à la main transformée, soit en gaine réceptrice, soit en organe phalique. Les animaux sont parfois utilisés dans ce même contexte. Là, le caractère de perversion atteint un degré voisin de monstruosité avec ce qui arrive dans la pédophilie ou, pus justement dit, la pédérastie. Ainsi, par quelque côté qu'on envisage l'homosexualité, elle ne peut, sur le plan philosophique, bénéficier d'une reconnaissance légale dans le cadre pérenne du mariage. Car un leurre ou une déviance est voué tôt ou tard à céder la place à la réalitéqu'elle imite, tant le vrai comme l'amour exige d'être reconnu in fine pour tel, faute de quoi la souffrance morale amoindrit l'être concerné et le conduità une mort non pacifiée. Mais comme l'injonction du christ Jésus, le sauveur : "Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés", cette injonction surplombe la question de l'homosexualité, voici quelques éléments qui aideront à tenir le juste milieu entre le rejet infâmant et l'accession à la même reconnaissance statutaire que les vrais couples. Car on trouve dans les textes sacrés des éléments qui indiquent que la sexualité telle qu'elle existe dans notre strate de temps est destinée à muter et que certaines audaces, qui consistent à séparer la génération de la volupté sont licites à l'être humain dans la dimension créatrice. Ainsi le prologue de Saint-Jean énumère de manière négative "ceux qui sont nés de la chair, nés des sangs, nés d'un vouloir d'homme", et l'on est autorisé à voir la Procréation Médicalement Assistée dans ce "vouloir d'homme" qui fait partie de l'énumération, même si cette énumération est placée sous la suréminence de ceux qui sont "nés de dieu". De même, la Parole : "Hélas pour celles qui l'auront dans le ventre en ces temps de calamité" annoncés par les evangiles, cette Parole signifie, outre le contexte de grande tribulation, que l'humanité doit parvenir à un stade où les femmes ne seront plus à porter leur enfant sur le mode mammifère , où la maternité telle qu'elle existe depuis des millions d'années cédera la place à un autre mode de procréation, analogue à la nature matricielle de la déité que nous ne pouvons pas envisager ni concevoir dans sa perfection à notre stade présent d'évolution, tant le modèle d'amour de la mère pour son enfant est inséparable de la représentation du sein maternel et du fruit de nos entrailles. Mais une lumière juste sur ces données fondamentales vient de l'hindouisme, du bouddhismeet du taoïsme conjugués, auxquels s'adjoint la sagesse de l'Afrique ancestrale. On peut dire de manière annexe que les complexités quasi insurmontables auxquelles va se confronter le projet de "mariage pour tous" s'il est votévont réintroduire quelque chose de la structure clanique, puisqu'un enfant pourrait se retrouver avec plusieurs pères et mèrees, dans le cas des mères porteuses, c'est-à-dire dans la situation inverse de la famille nucléaire occidentale. Ces projets en cours comportent donc une part qui est réutilisable pour aller vers une mutation favorable de la société, à condition que la libération de l'eros soit surplombée par le Logos. A cette condition, on peut espérer que, comme le christ Jésus l'a promis, la mort disparaisse de l'humanité. Mais le chemin est long, très long, et l'humanité étant travaillée par les démons (ou "esprits retardataires") qui viennent contrecarrer l'œuvre des deieux, il faut impérativement apprendre à discerner quels esprits nous influencent, faute de quoi nos enfants nous jugeront et se transformeront en justiciers de manière à faire advenir coûte que coûte un monde de vie, un monde plus heureux. A propos de l'expression "mariage pour tous", on peut considérer que, présentement fautive, elle préfigure néanmoins l'amour fou de chaque créature pour chacune des autres créatures, vivant une relation de couple indéfiniment multipliée et étalée dans le temps. Mais ces perspectives qui sont de l'ordre du rêve le plus fou, si nous voulons y parvenir, nous devons commencer par honorer les lois qui régissent le corps, l'âme et l'esprit et les unifie dans le cœur, en les soumettant à l'amour du christ Jésus, notre Seigneur. L'Amour du christ Jésus est à mettre en œuvre non seulement dans les directions qu'ont amplement prises les catholiques fervents ainsi qu'une multitude de saints et d'êtres réalisés dans d'autres religions et de laïcs, mais également dans le sens de développement de l'ensemble des pôles de l'être humain, dont la représentation la plus adéquate est donnée par l'arbre des séphiroth dans la kabbale. A partir de là, la sanctification des différents pôles amène naturellement au plan terrestre, celui de la manifestation, à être apte à vivre l'amour nuptial. Donc les clefs de la réalisation d'un amour heureux, c'est le travail d'amélioration personnelle, tel qu'il doit être effectué dans les meilleurs casau sein de la structure familiale par l'éducation qui requiert une part de communication, de dialogue, une part de satisfaction, de plaisir, et une part d'effort. Une sociétés qui ne travaille pas à ce juste équilibre est vouée à être remplacée non sans grand domage. Avec la pénétration en Occident des religions et philosophies d'Orient, c'est la notion de métamorphose et d'évolution qui tend à prendre le pas sur les normes considérées comme pérennes et vécues jusqu'alors par la majorité des êtres humains de cette humanité. En effet, le Taï Ghi tu (le yin et le yang) a sa correspondance dans le corps humain. La femme a un germe de masculinité avec le clitoris, l'homme un germe de féminité avec le prépuce. Donc s'il y a un germe qui n'est pas un leurre, qui est effectif, cela signifie que cette vocation féminine dans un corps mâle est appelée à acquérir son plein développement organique et à faire muter le corps mâle en corps féminin et vice versa. La vocation masculine du clitoris dans un corps féminin entraînera la mutation du corps féminin en corps masculin. C'est à partir de ces données physiques qu'ont pu être élaborées des données sur le genre. L'autre élément fondamental qui les a fait surgir, c'est la donnée de l'inversion des corps éthériques entre l'homme et la femme. D'après la connaissance initiatique, le corps éthérique d'un homme est féminin alors que le corps éthérique de la femme est masculin. Ainsi, si l'on met bout à bout les éléments de l'anatomie qui sont mineurs, mais représentés, avec l'inversion du premier des corps subtils, le corps éthérique, on peut voir que l'être humain n'est pas composé d'éléments parfaitement stables, mais également de variables, ce qui trouve sa justification ou son explication dans l'effectivité de la réincarnation. L'homme est effectivement appelé à faire l'expérience d'être tantôt homme, tantôt femme, et cette transmutation a vraiment lieu, mais elle s'opère et se répète au fil des incarnations successives, et c'est une erreur préjudiciable au plein équilibre et au bonheur humain de vouloir courre-circuiter dans l'espace d'une vie ce qui normalement a lieu sur deux vies, puis s'inverse à nouveau et se répète. Homosexualité, onanisme et transsexualité procèdent de la même erreur de vouloir rendre présent, en brûlant les étapes, un état de modification heureuse du stade où l'on en est en vue de dissiper un mal-être. Au niveau de la sensation et pour employer un langage théologique, tous ces comportements relèvent de la soif ou de la concupiscence, qui est elle-même produite en l'être humain par d'autres catégories d'êtres que lui-même. Quand la soif au niveau du chakra sacré est manipulée par des entités démoniaques, elle devient hybris et lubricité. Quand la soif est recueillie par des entités appartenant à la hiérarchie angélique, elle devient désir, c'est-à-dire le moteur de la manifestation, puisque la procréation est issue du désir. Au niveau de l'être intérieur, du cœur et de l'âme, ces déviances sont activées par les mémoires générationnellles bloquées, de même que le célibat non confessionnel et non choisi. Chaque personne doit pouvoir accéder à son histoire familiale, faute de quoi elle est vouée à en reproduire les échecs, et ce repris par d'autres générations, de quatre à sept, jusqu'à ce qu'un cataclysme ou une calamité viennent abolir, rayer les descendants qui n'ont pas réassumer l'héritage mémoriel (cf sodome et gomorhe, tir et sidon, mais aussi les deuils prématurés…), ou jusqu'à ce qu'une mise en lumière de ce qui était caché et un rétablissement des données propices au bonheur humain vienne lui redonner ses droits. En d'autres termes, le Logos doit avoir la prééminence sur l'eros, à partir de quoi une incarnation humaine peut avoir un cours harmonieux. Tout logos, pour ne pas devenir du verbiage, doit s'appuyer sur une parole fondatrice, sur un testament visité de transcendance. A partir de là, conformément à l'islam, on se soumet autant que possible à ces Normes, et on évolue en pliant son individualité qui demande à connaître la liberté, on évolue donc en s'insérant dans l'ordre cosmique. Si tel ou tel se sentent frustrés de ce qu'ils attendent de la vie, la conscience de la réincarnation leur ouvre une espérance, d'autant plus qu'elle s'associe à une expérience de l'impermanence. Tel objet de soif, intense à une période de la vie, devient beaucoup moins important par la suite. Les Normes et par-dessus tout la loi d'amour descendue sur terre par le christ Jésus et préfigurée par Bouddha, ces Normes sont les "moyens habiles" qu'emploie le créateur pour modeler une portion de néant, pour amener à la Lumière une part des ténèbres. Sur d'autres mondes, l'infinie Imagination de Dieu a dû très certainement établir d'autres règles pour faire surgir d'autres êtres. Mais nous avons été mis sur terre, pour la présente incarnation en tout cas. Aussi nous devons honorer les lois de la terre et la famille, avec une parentalité constituée d'un père et d'une mère, cette famille est l'irremplaçable terreau de la croissance harmonieuse des êtres humains. Quand on commence à avoir une infime notion de l'immensité et de l'infinité divine, on est habité de tremblements. Ce tremblement d'effroi, il faut, en mettant en œuvre l'amour et tout ce qu'il entraîne avec lui comme qualités et aptitudes, le transformer en tremblement amoureux, ce qui raisonne avec la phrase du sage indien qui dit approximativement que, tant qu'on ne se roule pas par terre à la seule évocation du Nom de dieu, c'est qu'on n'a pas MARIAGE POUR TOUS, UNE MUTATION EN VOIE DE MATURATION (J'ai le plaisir et l'honneur de publier cette réflexion décoiffante et décapante de mon amie edma, non que j'en reprenne à mon compte les aspects et paradigmes ésotérique, évoluttionniste ou réincarnationniste, mais parce qu'outre qu'il n'y a jamais d'amitié ni de rencontre de hasard, l'approche physiologique, anthropologique et subtile quie est proposée ici est incomparablement plus riche que "la loi naturelle", habituellement opposée dans ce combat symbolique contre le "mariage homosexuel". Les lignes qui suivent déploient une pensée originale, étonnante et qui a le mérite de faire bouger les lignes de partage un peu trop confortables et établies entre ceux qui sont presque physiquement opposés à ce projet de loi et ceux qui y voient une conquête de la liberté à laquelle on serait d'autant moins fondé à s'opposer qu'elle ne nous enlève rien à titre individuel ou personnel…) L'appellation "mariage pour tous" ne peut être retenue pour présenter à l'opinion le texte de loi censé s'intituler ainsi, car outre qu'elle travestit le véritable titre du texte "ouvrant le mariage aux personnes de même sexe", l'expression est fautive. En effet, une attirance de nature sexuelle entre deux êtres ne signifie pas qu'elle puisse prendre place dans un cadre de légalité, ainsi qu'il appert dans un contexte d'inceste, pour prendre l'exemple le plus extrême. A supposer que le "tous" de l'appellation ne concerne que les êtres humains et qu'onn'accorde pas le statut d'entités aux animaux et à d'autres êtres d'autres catégories telles qu'on les trouve mentionnées et attestées par les grandes religions de l'humanité, ce pronom "tous" ouvre la voie à des déformations qui ne sont pas compatibles avec ce que nous reconnaissons intimement et unanimement comme désirable pour l'être humain actuel.Tout coït (du latincoire, aller ensemble), présuppose un élément mâle et un élément femelle au niveau anatomique. Quand ces conditions ne sont pas réunies effectivement, les êtres humains concernés recourrent à des leurres, soit un leurre au niveau de l'emplacement du corps comme centre pulsionnel pour l'homosexualité masculine, soit un leurre au moyen d'objets confectionnés ou d'animaux et, pour les deux sexes, le recours à la main transformée, soit en gaine réceptrice, soit en organe phalique. Les animaux sont parfois utilisés dans ce même contexte. Là, le caractère de perversion atteint un degré voisin de monstruosité avec ce qui arrive dans la pédophilie ou, pus justement dit, la pédérastie. Ainsi, par quelque côté qu'on envisage l'homosexualité, elle ne peut, sur le plan philosophique, bénéficier d'une reconnaissance légale dans le cadre pérenne du mariage. Car un leurre ou une déviance est voué tôt ou tard à céder la place à la réalitéqu'elle imite, tant le vrai comme l'amour exige d'être reconnu in fine pour tel, faute de quoi la souffrance morale amoindrit l'être concerné et le conduità une mort non pacifiée. Mais comme l'injonction du christ Jésus, le sauveur : "Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés, ne condamnez pas et vous ne serez pas condamnés", cette injonction surplombe la question de l'homosexualité, voici quelques éléments qui aideront à tenir le juste milieu entre le rejet infâmant et l'accession à la même reconnaissance statutaire que les vrais couples. Car on trouve dans les textes sacrés des éléments qui indiquent que la sexualité telle qu'elle existe dans notre strate de temps est destinée à muter et que certaines audaces, qui consistent à séparer la génération de la volupté sont licites à l'être humain dans la dimension créatrice. Ainsi le prologue de Saint-Jean énumère de manière négative "ceux qui sont nés de la chair, nés des sangs, nés d'un vouloir d'homme", et l'on est autorisé à voir la Procréation Médicalement Assistée dans ce "vouloir d'homme" qui fait partie de l'énumération, même si cette énumération est placée sous la suréminence de ceux qui sont "nés de dieu". De même, la Parole : "Hélas pour celles qui l'auront dans le ventre en ces temps de calamité" annoncés par les evangiles, cette Parole signifie, outre le contexte de grande tribulation, que l'humanité doit parvenir à un stade où les femmes ne seront plus à porter leur enfant sur le mode mammifère , où la maternité telle qu'elle existe depuis des millions d'années cédera la place à un autre mode de procréation, analogue à la nature matricielle de la déité que nous ne pouvons pas envisager ni concevoir dans sa perfection à notre stade présent d'évolution, tant le modèle d'amour de la mère pour son enfant est inséparable de la représentation du sein maternel et du fruit de nos entrailles. Mais une lumière juste sur ces données fondamentales vient de l'hindouisme, du bouddhismeet du taoïsme conjugués, auxquels s'adjoint la sagesse de l'Afrique ancestrale. On peut dire de manière annexe que les complexités quasi insurmontables auxquelles va se confronter le projet de "mariage pour tous" s'il est votévont réintroduire quelque chose de la structure clanique, puisqu'un enfant pourrait se retrouver avec plusieurs pères et mèrees, dans le cas des mères porteuses, c'est-à-dire dans la situation inverse de la famille nucléaire occidentale. Ces projets en cours comportent donc une part qui est réutilisable pour aller vers une mutation favorable de la société, à condition que la libération de l'eros soit surplombée par le Logos. A cette condition, on peut espérer que, comme le christ Jésus l'a promis, la mort disparaisse de l'humanité. Mais le chemin est long, très long, et l'humanité étant travaillée par les démons (ou "esprits retardataires") qui viennent contrecarrer l'œuvre des deieux, il faut impérativement apprendre à discerner quels esprits nous influencent, faute de quoi nos enfants nous jugeront et se transformeront en justiciers de manière à faire advenir coûte que coûte un monde de vie, un monde plus heureux. A propos de l'expression "mariage pour tous", on peut considérer que, présentement fautive, elle préfigure néanmoins l'amour fou de chaque créature pour chacune des autres créatures, vivant une relation de couple indéfiniment multipliée et étalée dans le temps. Mais ces perspectives qui sont de l'ordre du rêve le plus fou, si nous voulons y parvenir, nous devons commencer par honorer les lois qui régissent le corps, l'âme et l'esprit et les unifie dans le cœur, en les soumettant à l'amour du christ Jésus, notre Seigneur. L'Amour du christ Jésus est à mettre en œuvre non seulement dans les directions qu'ont amplement prises les catholiques fervents ainsi qu'une multitude de saints et d'êtres réalisés dans d'autres religions et de laïcs, mais également dans le sens de développement de l'ensemble des pôles de l'être humain, dont la représentation la plus adéquate est donnée par l'arbre des séphiroth dans la kabbale. A partir de là, la sanctification des différents pôles amène naturellement au plan terrestre, celui de la manifestation, à être apte à vivre l'amour nuptial. Donc les clefs de la réalisation d'un amour heureux, c'est le travail d'amélioration personnelle, tel qu'il doit être effectué dans les meilleurs casau sein de la structure familiale par l'éducation qui requiert une part de communication, de dialogue, une part de satisfaction, de plaisir, et une part d'effort. Une sociétés qui ne travaille pas à ce juste équilibre est vouée à être remplacée non sans grand domage. Avec la pénétration en Occident des religions et philosophies d'Orient, c'est la notion de métamorphose et d'évolution qui tend à prendre le pas sur les normes considérées comme pérennes et vécues jusqu'alors par la majorité des êtres humains de cette humanité. En effet, le Taï Ghi tu (le yin et le yang) a sa correspondance dans le corps humain. La femme a un germe de masculinité avec le clitoris, l'homme un germe de féminité avec le prépuce. Donc s'il y a un germe qui n'est pas un leurre, qui est effectif, cela signifie que cette vocation féminine dans un corps mâle est appelée à acquérir son plein développement organique et à faire muter le corps mâle en corps féminin et vice versa. La vocation masculine du clitoris dans un corps féminin entraînera la mutation du corps féminin en corps masculin. C'est à partir de ces données physiques qu'ont pu être élaborées des données sur le genre. L'autre élément fondamental qui les a fait surgir, c'est la donnée de l'inversion des corps éthériques entre l'homme et la femme. D'après la connaissance initiatique, le corps éthérique d'un homme est féminin alors que le corps éthérique de la femme est masculin. Ainsi, si l'on met bout à bout les éléments de l'anatomie qui sont mineurs, mais représentés, avec l'inversion du premier des corps subtils, le corps éthérique, on peut voir que l'être humain n'est pas composé d'éléments parfaitement stables, mais également de variables, ce qui trouve sa justification ou son explication dans l'effectivité de la réincarnation. L'homme est effectivement appelé à faire l'expérience d'être tantôt homme, tantôt femme, et cette transmutation a vraiment lieu, mais elle s'opère et se répète au fil des incarnations successives, et c'est une erreur préjudiciable au plein équilibre et au bonheur humain de vouloir courre-circuiter dans l'espace d'une vie ce qui normalement a lieu sur deux vies, puis s'inverse à nouveau et se répète. Homosexualité, onanisme et transsexualité procèdent de la même erreur de vouloir rendre présent, en brûlant les étapes, un état de modification heureuse du stade où l'on en est en vue de dissiper un mal-être. Au niveau de la sensation et pour employer un langage théologique, tous ces comportements relèvent de la soif ou de la concupiscence, qui est elle-même produite en l'être humain par d'autres catégories d'êtres que lui-même. Quand la soif au niveau du chakra sacré est manipulée par des entités démoniaques, elle devient hybris et lubricité. Quand la soif est recueillie par des entités appartenant à la hiérarchie angélique, elle devient désir, c'est-à-dire le moteur de la manifestation, puisque la procréation est issue du désir. Au niveau de l'être intérieur, du cœur et de l'âme, ces déviances sont activées par les mémoires générationnellles bloquées, de même que le célibat non confessionnel et non choisi. Chaque personne doit pouvoir accéder à son histoire familiale, faute de quoi elle est vouée à en reproduire les échecs, et ce repris par d'autres générations, de quatre à sept, jusqu'à ce qu'un cataclysme ou une calamité viennent abolir, rayer les descendants qui n'ont pas réassumer l'héritage mémoriel (cf sodome et gomorhe, tir et sidon, mais aussi les deuils prématurés…), ou jusqu'à ce qu'une mise en lumière de ce qui était caché et un rétablissement des données propices au bonheur humain vienne lui redonner ses droits. En d'autres termes, le Logos doit avoir la prééminence sur l'eros, à partir de quoi une incarnation humaine peut avoir un cours harmonieux. Tout logos, pour ne pas devenir du verbiage, doit s'appuyer sur une parole fondatrice, sur un testament visité de transcendance. A partir de là, conformément à l'islam, on se soumet autant que possible à ces Normes, et on évolue en pliant son individualité qui demande à connaître la liberté, on évolue donc en s'insérant dans l'ordre cosmique. Si tel ou tel se sentent frustrés de ce qu'ils attendent de la vie, la conscience de la réincarnation leur ouvre une espérance, d'autant plus qu'elle s'associe à une expérience de l'impermanence. Tel objet de soif, intense à une période de la vie, devient beaucoup moins important par la suite. Les Normes et par-dessus tout la loi d'amour descendue sur terre par le christ Jésus et préfigurée par Bouddha, ces Normes sont les "moyens habiles" qu'emploie le créateur pour modeler une portion de néant, pour amener à la Lumière une part des ténèbres. Sur d'autres mondes, l'infinie Imagination de Dieu a dû très certainement établir d'autres règles pour faire surgir d'autres êtres. Mais nous avons été mis sur terre, pour la présente incarnation en tout cas. Aussi nous devons honorer les lois de la terre et la famille, avec une parentalité constituée d'un père et d'une mère, cette famille est l'irremplaçable terreau de la croissance harmonieuse des êtres humains. Quand on commence à avoir une infime notion de l'immensité et de l'infinité divine, on est habité de tremblements. Ce tremblement d'effroi, il faut, en mettant en œuvre l'amour et tout ce qu'il entraîne avec lui comme qualités et aptitudes, le transformer en tremblement amoureux, ce qui raisonne avec la phrase du sage indien qui dit approximativement que, tant qu'on ne se roule pas par terre à la seule évocation du Nom de dieu, c'est qu'on n'a pas la moindre notion de ce qu'est la déité, le Brahman. la moindre notion de ce qu'est la déité, le Brahman.

2 commentaires:

  1. Јe n'ai rien d'іmρortant à ԁire sur moi, jе ѕuis
    arrivée ici en chеrchant "homosexuels" dans Google.
    Αu sujet dе le mariage gay dont http://wωw.
    blоgger.com/comment.g?blogӀD=6130108052831016883&poѕtID=8436274186553478055
    parle, un site vіеnt de ѕ'ouvrir: http://www.lafamillepourtous.com . Venez-vous y connecter! A bientot! Napoleon
    « Oui, c’est bien le mariage, avec toute sa charge symbolique et toutes ses règles d’ordre public, que le Gouvernement ouvre aux couples de même sexe, dans les mêmes conditions d’âge et de consentement de la part de chacun des conjoints, avec les mêmes interdits, les mêmes prohibitions, sur l’inceste, sur la polygamie, avec les mêmes obligations d’assistance, de fidélité , de respect, instaurées par la loi de 2006, avec les mêmes obligations pour chaque conjoint vis-à-vis l’un de l’autre, les mêmes devoirs des enfants vis-à-vis de leurs parents et des parents vis-à-vis de leurs enfants.

    Oui, c’est bien ce mariage que nous ouvrons aux couples de même sexe. Que l’on nous explique pourquoi deux personnes qui se sont rencontrées, qui se sont aimées, qui ont vieilli ensemble devraient consentir à la précarité, à une fragilité, voire à une injustice, du seul fait que la loi ne leur reconnaît pas les mêmes droits qu’à un autre couple aussi stable qui a choisi de construire sa vie. »

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  2. Pourquoi parler de couple quand la prochaine étape est le trio ou le quatrio ? cela fait déjà bien plus de 30 ans que les administrations ont du enregistré des mamans de substitution, quand elles se sont rendues comptes que madame X, accouchait tous les ans jusqu'au jour ou deux madames X ont accouché le même jour. Maintenant au moins, madame X officielle et madame X officieuse pourront vivre leurs maternité sans culpabiliser monsieur... voilà pour les occultations que personne ne relève. Mais ne vous inquiétez pas, cela ne saurait tarder. C'est la prochaine étape ; elle était plus sensible encore que de visez les personnes de même sexe mais en filigrane, deux mamans pour un seul enfant, ou deux papa pour un seul enfant, c'est ouvrir la liberté à la polyandrie ou la polygamie...

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