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mardi 25 avril 2017

Romain VIllet et mon Macron



« Est-il donc si loin le moment où, comme tu l'as raconté ici même avec une franchise qui t'honore, sur le point de voter pour son père, tu t'en étais détourné par égard pour la caissière de supermarché du coin de ta rue dont tu craignais qu'elle ne comprenne pas ton choix, qu'elle le trouve dépourvu de l'humanité dont tu te targues? En outre, un trait manque au portrait que tu dresses: Macron, comme toi, aime les livres, et pas seulement les Sterling qui se reproduisent en de stériles partouzes dans les algorithmes bordéliques de la city, non, ceux que tu aimes aussi, ceux qu'aime sa prof de femme? Comment ne pas voir qu'il y a dans le cœur de celui qui vit un amour aussi romanesque assez d'humanité pour t'inciter le choisir, ne serait-ce que pour ne pas offenser ta caissière? Et tout ça, si mes souvenirs sont bons, après avoir voté Hamon? Quand on a mis le doigt dans l'engrenage, puisque cette élection est un piège à "on", à quoi cela rimerait-il de ne plus voter en on, et de finir ton vers, plein de calembredaine, avec cette rime en N? »

 

Ma pomme torrentielle :

« Eh bien, je te réponds, tu n'en attendais pas moins de moi. Parfaitement, la caissière, mais elle est dans le même bateau que moi, il faudra bien qu'elle le comprenne et que je m'occupe de moi, soit pour m'occuper d'elle, soit pour ne pas être occupé par elle à force de m'abandonner au soin que j'ai d'elle qui n'en profite même pas. Charité désordonnée n'arrive jamais à soi-même. Et elle n'arrive pas plus aux migrants qui nous arrivent et que nous n'aidons qu'avec notre conscience fraîche comme le pain d'être si généreuse. Donc fini, la caissière. OU nous sommes dans le même bateau, ou il faut que je m'occupe de moi. Deuxièmement, je ne crois pas, mais alors pas du tout en la fiction d'un Macron qui aime les livres. Macron n'est ni un matheux, ni un fin lettré. Il n'a écrit que pour ses placards et ne sait pas combien font sept fois huit. IL n'a pas à réciter ses tables et nous assure qu'il n'y a pas besoin d'être matheux sous ce rtio, à cet escient ni sous ce quotient pour prendre la banque et avoir un coeur de milliardaire, celui-là même qu'il voulait pour les jeunes de notre pays. Macron a une gueule d'ange qui fait croire qu'il aime les livres, mais il n'aime que le chiffre de l'argent. Voire il en prend à son aise, fait plus que suggérer Eric Brunet dans une vidéo que la station de #PatrickDrahy pour laquelle il travaille l'a obligé à censurer. Tu regarderas "Macron et l'argent", où tu apprendras que, si ce que Macron a déclaré avoir gagné au fisc était vrai, il serait le directeur de banque d'affaires le moins payé de la planète, dixit une journaliste de Mediapart, autorité morale incontestée. Or Macron chapeautait d'autre part comme ministre de l'économie une agence chargée des transactions entre l'Etat et les entreprises sensibles. Au coeur de toutes celles qui furent conclues, Macron étant ministre, la banque Rothschild se trouvait seule, pas la banque Lazare NI bnp Paribas. #Eric Brunet soupçonne donc Macron d'être au coeur d'un gigantesque conflit d'intérêt auprès duquel le #Penelopegate est une histoire de corne-cul. Macron aime une femme plus âgée que lui, ajoutes-tu en sa faveur, où je devrais voir une preuve d'humanité. Les gens amoureux ni les gens heureux n'ont pas d'histoire. Pour Macron, je pense que c'est un enfant égoïste et sans attache qui a avant tout besoin de sécurité. Il a imposé à Brigitte son idyle come un défi: "Je vous veux et je vous épouserai." Il a voulu, il a eu. Maintenant il a peur et elle le protège. Elle corrige son parler faux quand il crie trop fort et les plans détaillés de ses mauvais discours. Enfin, je m'en prends à toi, ce qui est de bonne guerre. Ne sois pas de ces céliniens qui s'arrêtent au bord de céline. J'ai écrit hier à quelqu'un avec qui j'ai fâcherie que je ne m'aimais pas assez pour être capable de haine. Ne t'arrête pas sans l'éprouver au bord de la haine qui te fascine et du génie qui l'exprime. Va et hais sans trop forcer la dose. »


« Est-il donc si loin le moment où, comme tu l'as raconté ici même avec une franchise qui t'honore, sur le point de voter pour son père, tu t'en étais détourné par égard pour la caissière de supermarché du coin de ta rue dont tu craignais qu'elle ne comprenne pas ton choix, qu'elle le trouve dépourvu de l'humanité dont tu te targues? En outre, un trait manque au portrait que tu dresses: Macron, comme toi, aime les livres, et pas seulement les Sterling qui se reproduisent en de stériles partouzes dans les algorithmes bordéliques de la city, non, ceux que tu aimes aussi, ceux qu'aime sa prof de femme? Comment ne pas voir qu'il y a dans le cœur de celui qui vit un amour aussi romanesque assez d'humanité pour t'inciter le choisir, ne serait-ce que pour ne pas offenser ta caissière? Et tout ça, si mes souvenirs sont bons, après avoir voté Hamon? Quand on a mis le doigt dans l'engrenage, puisque cette élection est un piège à "on", à quoi cela rimerait-il de ne plus voter en on, et de finir ton vers, plein de calembredaine, avec cette rime en N? »

 

Ma pomme torrentielle :

« Eh bien, je te réponds, tu n'en attendais pas moins de moi. Parfaitement, la caissière, mais elle est dans le même bateau que moi, il faudra bien qu'elle le comprenne et que je m'occupe de moi, soit pour m'occuper d'elle, soit pour ne pas être occupé par elle à force de m'abandonner au soin que j'ai d'elle qui n'en profite même pas. Charité désordonnée n'arrive jamais à soi-même. Et elle n'arrive pas plus aux migrants qui nous arrivent et que nous n'aidons qu'avec notre conscience fraîche comme le pain d'être si généreuse. Donc fini, la caissière. OU nous sommes dans le même bateau, ou il faut que je m'occupe de moi. Deuxièmement, je ne crois pas, mais alors pas du tout en la fiction d'un Macron qui aime les livres. Macron n'est ni un matheux, ni un fin lettré. Il n'a écrit que pour ses placards et ne sait pas combien font sept fois huit. IL n'a pas à réciter ses tables et nous assure qu'il n'y a pas besoin d'être matheux sous ce rtio, à cet escient ni sous ce quotient pour prendre la banque et avoir un coeur de milliardaire, celui-là même qu'il voulait pour les jeunes de notre pays. Macron a une gueule d'ange qui fait croire qu'il aime les livres, mais il n'aime que le chiffre de l'argent. Voire il en prend à son aise, fait plus que suggérer Eric Brunet dans une vidéo que la station de #PatrickDrahy pour laquelle il travaille l'a obligé à censurer. Tu regarderas "Macron et l'argent", où tu apprendras que, si ce que Macron a déclaré avoir gagné au fisc était vrai, il serait le directeur de banque d'affaires le moins payé de la planète, dixit une journaliste de Mediapart, autorité morale incontestée. Or Macron chapeautait d'autre part comme ministre de l'économie une agence chargée des transactions entre l'Etat et les entreprises sensibles. Au coeur de toutes celles qui furent conclues, Macron étant ministre, la banque Rothschild se trouvait seule, pas la banque Lazare NI bnp Paribas. #Eric Brunet soupçonne donc Macron d'être au coeur d'un gigantesque conflit d'intérêt auprès duquel le #Penelopegate est une histoire de corne-cul. Macron aime une femme plus âgée que lui, ajoutes-tu en sa faveur, où je devrais voir une preuve d'humanité. Les gens amoureux ni les gens heureux n'ont pas d'histoire. Pour Macron, je pense que c'est un enfant égoïste et sans attache qui a avant tout besoin de sécurité. Il a imposé à Brigitte son idyle come un défi: "Je vous veux et je vous épouserai." Il a voulu, il a eu. Maintenant il a peur et elle le protège. Elle corrige son parler faux quand il crie trop fort et les plans détaillés de ses mauvais discours. Enfin, je m'en prends à toi, ce qui est de bonne guerre. Ne sois pas de ces céliniens qui s'arrêtent au bord de céline. J'ai écrit hier à quelqu'un avec qui j'ai fâcherie que je ne m'aimais pas assez pour être capable de haine. Ne t'arrête pas sans l'éprouver au bord de la haine qui te fascine et du génie qui l'exprime. Va et hais sans trop forcer la dose. »

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