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lundi 18 mars 2013

Note idéative (I)

C'est à dessein et à regret que j'insère cette rubrique sur ce blog plutôt que sur journaltorrentiel. Mais bien que ce blog-père n'ait pas été alimenté depuis près de trois ans, la logique du développement interne de son texte s'est déployée comme un livre sur lequel je n'ai pas le temps de travailler pour le moment. Aussi essayé-je cette nouvelle forme d'"inaperçu" indiscipliné et dont l'avenir dira si elle se peut raisonner, mais qui, du moins, à l'origine, ne prétend pas à l'origine à une exhaustivité intenable et à une organisation dont je suis trop bouleversé pour être capable. Alors lançons-nous, et vogue la galère de cette série sur ce torrent, dont ce blog est le radeau qui ramasse le plus de vestiges. Et encore, il se croit obligé d'en jeter beaucoup à la mer, que ceux qui seraient dignes d'être recueillis sur cette arche veuillent bien en pardonner leur indigne serviteur!












18 mars 2013 (le premier soir, où j'inaugure cette manière encore plus désorganisée de noter le bric-à-brac de mes idéesen vrac : En lisant l'Emile de rousseau : C'est une constante ambition de l'homme que de trouver son semblable jusqu'en l'inventant tout différent, qui se fait voir de Pline l'ancien à la paléontollogie moderne Un peu plus haut dans le texte, Inaperçu de l'histoire (et contresens pour faire grossir le chapeau qu'on veut faire porter à rousseau) : rousseau, le pédagogue fantasque, qui voulait que les enfants apprissent l'instruction civique après avoir choisi leur fiancée, s'il inspira la ", parla, lui de chercher quels étaient "les devoirs de l'homme et du citoyen"., Faut-il que nous parlions toujours en exagérant ? Nous nous croyons toujours dans l'anfractuosité où va s'ouvrir la faille. Ainsi rousseau : Dans son apologie du "bon sauvage", il force ainsi le trait : Le sauvage ne convoite rien au-delà de sa faim, c'est nous qui sommes les vrais cannibales : "Mais pour nous, à qui la vie civile est nécessaire, et qui ne pouvons plus nous passer de manger des hommes", nous émigrons dans des "capitales cannibales" : "Voilà pourquoi tout afflue à Rome, à Paris, à Londres. C'est toujours dans les capitales que le sang humain se vend à meilleur marché.". Les capitales sont cannibales comme le capital, et le marché aux hommes négocie toujours la valeur travail à prix de sang humain,sauf qu'avec l'économie numérique où les ordres se donnent plus vite que les services ne se rendent et que les biens ne peuvent être transportés, la valeur-travail est plus une valeur retranchée qu'une valeur ajoutée. "La question humaine", en devenant une différence, favorise une indifférence inhumaine. PENSEE DE VIRGILE, VENU NOUS VISITER CE MATIN : Nous faisons comme si nous n'avions que des extrémistes politiques et pas d'extrémistes économiques. Or nous sommes arrivés à l'extrême pointe du capitalisme, comme il y a une vingtaine d'années, les Européens de l'Est étaient arrivés à l'extrême pointe du communisme avant la destruction du mur de berlin. Ces extrémistes économiques qui font que le capitalisme est à son "pick oil" sont ceux au nom desquels les peuples vivent si mal sans savoir ce qu'ils leur doivent. Ce sont les inventeurs du néo-esclavagisme, qui est plus vicieux que l'esclavagisme ancien, car au moins, l'esclavagiste ancien était paternaliste, c'était un maître qui avait des domestiques, lesquels faisaient partie de son foyer en travaillant à son usage.

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