Macron est le maître des horloges qui n'aime pas leur tic tac. C'est le candidat démocrate qui se prépare à administrer les hommes comme des machines. "Vous faites partie de ces françaises qui sont gérées par le RSI", répondait-il à une autoentrepreneuse. C'est le candidat des vieux écoutant la pendule "qui ronronne au salon, qui dit oui, qui dit non, et puis qui.... attend" qu'ils meurent. C'est le candidat des Fenêtres qui "surveillent L'enfant qui s'émerveille Dans un cercle de vieilles À faire ses premiers pas" (Jacques Brel): "En marche", commande aux grands-mères l'enfant militaire devenu le prince de Paris mont-parnasse, malheur à la ville dont le prince est un enfant!
C'est le candidat qui quitte le gouvernement par la porte et revient par la fenêtre pour faire beaucoup de défenestrés. C'est le candidat du grand déclassement. C'est le candidat de l'émigration (déplacement) des jeunes qui veulent devenir milliardaires et feront à cause de cette ambition purement personnelle beaucoup de déclassés.
Marine est la candidate du peuple déclassé. Macron est le nom du déclassement de la bourgeoisie qui a perdu ses valeurs et qui a perdu la classe, et ne se donne même plus, outre la peine de naître, des dehors de philanthropie.
Macron est le candidat remplaciste de l'homme substituable. Macron est un robot qui hake ses administrées et leur vole leurs données personnelles avant même d'être leur "big brother coaching them". Macron est un robot puérile et hyperflexible, prothésé par beaucoup de mamans et grands-mamans. Macron est le candidat du lys dans la vallée ouvrière, qui va manger dans l'auge de Jeanne d'Arc en commandant à dîner à la Rotonde. Macron boit dans le verre de Simone de Beauvoir comme Gambetta buvait dans la chope de Luther.
Macron est le candidat post-existentialiste qui dîne dans les cantines de Sartre entouré de cougars. Macron est le candidat attalien qui ne tient à rien, n'a pas d'enfant parce qu'il en est un, reste un inspecteur des finances éternellement collégien, a une intelligence artificielle cooptée, des qualités intellectuelles auxquelles on est prié de croire sans jamais les avoir remarquées, mais qui prétend malgré sa stérilité devenir le père de la nation.
Macron mange des asperges et du jambon au mépris des tribus wegane et musulmane.
Les animaux de la ferme sont désormais élevés en batterie de 1200 poules, même dans l'agriculture bio (reportage visionné hier midi sur TF1). Ces batteries sont les camps de concentration des animaux sans que les écolos le dénoncent, pas plus que le viol des juments attachées dans les haras pour l'assaut de l'étalon ou que l'insémination forcée des vaches, que ne chargent plus les taureaux. Les vaches se font engrosser par de la purée Mousseline.
Les citoyens interchangeables que nous sommes seront la volaille vidangée-dressée du robot Macron. Voilà pourquoi je voterai pour sa rivale qui a de l'humanité, car elle a des défauts humains, et qui me parle encore d'un ordre naturel.
lundi 24 avril 2017
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