Je crois éprouver pour la première fois le désagrément de penser contre tout un pays. Ce pays, c'est le mien, mais je ne peux rien y faire, l'unanimisme
de cette désapprobation et la bouc émissarisation que je vois poindre me serrent le coeur, d'autant qu'elle donne lieu à de nouvelles provocations qui
n'ont rien de courageux, et que je redoute par-dessus tout un 11 septembre à la française.
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